Une approche naturelle

Le premier pilier de l’alimentation ancestrale, c’est la nature.

Pourquoi aller chercher ailleurs alors que la nature à tout prévu ?
La maladie n’est que le résultat d’un déséquilibre de notre équilibre intérieur, offrant une opportunité pour les bactéries de se propager ou pour les virus d’attaquer nos cellules. L’approche de Nutritik défend un modèle de santé étroitement lié à l’équilibre naturel de l’homme et la relation unique qui le lie aux écosystèmes et à la nature.

L‘homme ne doit pas être considéré comme une composante indépendante et supérieure au vivant mais une partie intégrée du système naturel et des êtres qui la façonnent. Toute action entraîne une réaction. Modifier le vivant pour l’adapter à notre vivant de fait inéluctablement à nos dépends. La santé de l’homme dépend donc à la fois de notre relation avec le vivant qu’à la façon dont nous l’utilisons.

Se nourrir du vivant et de la nature est un principe clé de l’Alimentation Ancestrale.

Une approche physiologique et humaine

Le second pilier de l’Alimentation Ancestrale est l’approche physiologique

L’Alimentation Ancestrale s’appuie sur la physiologie humaine.
Les hommes possède un métabolisme spécifique demandant une alimentation spécifique. Nos besoins sont en majorité couverts par notre alimentation et notre mode de vie.

En tant qu’omnivores à dominantes carnivores, notre organisme s’est développé de façon à optimiser la métabolisation des nutriments provenant d’une alimentation très particulière. Nos dents, le PH de notre estomac, la structure de notre duodénum, notre vésicule biliaire, notre foie, notre capacité à stocker de l’énergie et à fabriquer notre propre source d’énergie en l’absence de glucose ou à utiliser celle du soleil, à l’instar des plantes, la longueur de notre intestin grêle et de notre colon, un péristaltisme particulier et bien sûr, notre incroyable cerveau… tout notre organisme repose sur une adaptation de plusieurs millions d’années à une alimentation formidablement diversifiée mais aussi très carnée.

Notre génétique est également un facteur clé de notre biologie et il est indispensable de la considérer au regard de notre alimentation. Notre physiologie est humaine mais aussi individualisée. Notre capacité à métaboliser les produits laitiers, notre sensibilité à l’insuline, notre réponse métabolique au graisses (saturées ou non), notre besoin en eau, notre prédisposition à certaines pathologies… ces éléments sont aussi une composante de l’alimentation ancestrale, un socle nutritionnel commun à notre espèce adapté à des variations individuelles.

Une approche scientifique

Le troisième pilier de l’Alimentation Ancestrale est l’approche scientifique.

On ne peut bâtir une alimentation résolument et objectivement adaptée à l’espèce humaine sans un socle scientifique solide et fiable. Or, la plupart des recommandation actuelles en matière de nutrition humaines se basent sur de l’épidémiologie simplifiée, le plus souvent des études basées sur des résultats prospectifs et des animaux ou des études spécialisée sur des biomarqueurs spécifiques.

Il est impossible de configurer une étude à 100% objectives avec de l’épidémiologie. Il est fondamental d’utiliser le “Gold Standard” de la science nutritionnelle : Les méta-analyses de large cohortes et de longues durées, randomisées en double-aveugle.

Malheureusement, ces études coutent cher et leurs résultats vont rarement dans le sens des lobbys agro-alimentaires. Il est donc difficile d’en exploiter un nombre suffisant pour obtenir des données fiables, faute de financement. Mais lorsque l’on recoupent les quelques mega-études nutritionnelles existantes de qualité avec des études anthropologiques, climatologiques, biologiques, historiques et génétiques, alors, des points de convergences apparaissent et mettent en exergue de façon claire et évidente l’alimentation est la plus adaptée à l’homme, celle qu’il a consommé pendant toute son existence, en fonction de ses spécificités (origines, mode de vie, climat, aliments locaux…).

La vraie science nutritionnelle est une science intégrée et l’Alimentation Ancestrale s’est établie sur cette science précisément.

Une approche traditionnelle

Le quartier pilier de l’Alimentation Ancestrale est l’approche traditionnelle.

De tout temps, les hommes ont utilisés l’alimentation comme remède au mal. Des chamans de Sibérie aux guérisseurs du Brésil, les aliments, en spécifiquement les plantes, ont naturellement été utilisés comme remède de première intention.

D’ailleurs, dans certains pays d’Asie, le médecin était un confident et un référent qui nous permettait de vivre en pleine santé, tout au long de la vie et pas uniquement quand la maladie était installée. L’alimentation est au coeur de la pharmacopée chinoise et cette science, à l’instar de l’Ayurveda Indien, et bien qu’aujourd’hui controversée, apporte de très bons résultats.

Manger est une pratique essentielle de l’histoire des sociétés humaines. Nos habitudes alimentaires contemporaines (heure et fréquence des repas, répartition des nutriments, aspects éthiques et spirituels, saisonnalité…) sont très éloignées de celles de nos ancêtres communs pour qui l’acte de manger dépendait avant tout de l’effort réalisé pour y arriver (chasse, pêche, cueillette, culture…) et nous nous sommes progressivement détaché de la pratique même de s’alimenter.

L’alimentation ancestrale s’intègre dans un mode de vie en phase avec celui de nos ancêtres, dans un contexte moderne nous offrant la possibilité de bénéficier du meilleur des deux mondes.

Qu’attendez-vous ?